tag:blogger.com,1999:blog-780410977111700973.post6176526957440494765..comments2024-02-17T04:34:58.388-08:00Comments on .: Seuls au monde (1)Des idiotshttp://www.blogger.com/profile/04947354245858064017noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-780410977111700973.post-38383258154336630242012-07-22T00:31:25.832-07:002012-07-22T00:31:25.832-07:00Merci cher passant nantais.La répétition du terme ...Merci cher passant nantais.La répétition du terme "excellent" ne nous pose pas de problème ;) L'auteur de cet article n'a eu le loisir d'y insérer une véritable critique du "Monde, la chair et le sang" qui est seulement évoqué mais vous avez l'air bien parti et nous vous invitons vivement à nous proposer ça si c'est le cas. Ce film mériterait en effet à lui seul un traitement plus long. En effet, la première chose qui m'a frappé aussi en le visionnant est le jeu sur les sonorités, ou plutôt l'absence de sonorité dans un monde désert qui renvoie le personnage principal à sa propre et écrasante subjectivité dans un monde où il est la seule et dernière source de bruit. C'est une sensation que seul le désert permet de ressentir. Ca me rappelle une anecdote vraie ou fausse sur une torture mise au point par des petits génies de la CIA en Amérique du sud consistant à plonger un malheureux dans une piscine obscure, équipé de bouteilles, pendant des heures, jusqu'à ce qu'il perde complètement les pédales à force de ne plus entendre que le bruit de sa propre respiration. Suspension du temps, oui c'est exactement cela.Des idiotshttps://www.blogger.com/profile/04947354245858064017noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-780410977111700973.post-12785993213540067132012-07-21T23:39:34.340-07:002012-07-21T23:39:34.340-07:00Désolé pour la répétition du mot "excellent&q...Désolé pour la répétition du mot "excellent", preuve de mon enthousiasme, le souvenir de de ce film s'étant réimprimé dans mon cerveau à la lecture de la première ligne de cet article. J'en profite pour aller plus loin : je me rappelle d'une atmosphère singulière, une lenteur ni agréable ni désagréable, intriguante, un point de vue embarqué, comment appelle t-on ça déjà ? Focalisation zéro ? On suit le personnage éperdu dans sa quête, pas à pas, le bruit y est important puisqu'isolé. On a autant envie d'être à sa place, débarrassé de tout, qu'effrayé par cette idée vertigineuse. On veut comprendre, savoir pourquoi. Qui il est, qui il rencontre finalement, fatalement. Est-ce un bien ou un mal? Questions éternelles magnifiquement suggérées dans cette parenthèse désenchantée. Une suspension du temps et de l'espace à laquelle nous avons peut-être tous peur de rêver.Passant nantaisnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-780410977111700973.post-10373002229244069342012-07-21T22:44:00.571-07:002012-07-21T22:44:00.571-07:00Alors là non, oui mais non, je dis stop, non, pas ...Alors là non, oui mais non, je dis stop, non, pas d'accord...(NDA : Bonjour je suis le commentateur ergoteur et fiérot qui arrive après la bataille avec sa petite info, s'élançant par ce biais dans une tentative tragique de prouver qu'il EXISTE et qu'il a une VALEUR) Bref, merci pour cet article, j'ajoute que j'ai eu la chance de voir l'excellent film "Le Monde la Chair et le Diable" sorti en 1959 que j'ai trouvé excellent, subtilement attachant et dont vous trouverez une très bonne critique ici : http://www.critikat.com/Le-Monde-la-chair-et-le-diable.html . De l'autre côté de l'échelle de valeur il y a aussi un duo cocaïné qui a commis un film évoquant un Paris vidé de ses habitants assez récemment. Amicalement. Un passant nantais.Anonymousnoreply@blogger.com