Les idiots débranchent leur appareil
respiratoire pour prendre la poudre d’escampette. Ils remercient leurs infâmes lecteurs et les
attendent de pied ferme, bientôt, pour de nouvelles aventures encore
plus rocambolesques !
« J’ai laissé mon âme
au vestiaire de l’existence.
Léger, je marche vers ce
nulle part
que la destinée a laissé
échapper
de sa besace immonde,
parfois, je cours à moitié
nu
comme l’enfant que j’étais
dans les plaines
souriantes
de la vie retrouvée,
immaculée.
J’ai laissé mon âme
au vestiaire de l’existence. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire