Il n’y a pas d’âge,
Que des pages qui se tournent au ciel
Pour une histoire sans dessus dessous
D’où tombent les petits personnages
Sur la terre inquiète, inhospitalière,
Et gambadent les destinées infimes
Dans les prairies immenses du temps
Quand, lentement, s’effondrent
Les jours anodins.
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